Il a ajouté dans une déclaration médiatique que depuis 1996, la Tunisie a commencé à valoriser ses déchets en passant des décharges anarchiques à celles contrôlées. Ceci a réduit le phénomène d’accumulation des déchets dans les quartiers. Mais après la révolution de 2011, les décharges contrôlées ont connu un rejet de la part des riverains qui se plaignent des mauvaises odeurs. L’Etat s’est retrouvé incapable de créer d'en d’autres.

Il a noté aussi que la Tunisie s’est orientée vers la valorisation des déchets dans trois gouvernorats: Bizerte, Sousse et Gabès. Le premier appel d'offres, sous forme d’un contrat, a été suspendu depuis le mois de novembre 2021, à cause du rejet populaire.
Il faut savoir que la KFW a alloué 56 millions d’euros pour la réalisation du projet de valorisation des déchets.

Merdassi a appelé l’Etat à accélérer la prise de décisions et de faire les études nécessaires, surtout après la fermeture de plusieurs décharges. Le but est de trouver une alternative.

Le problème du rejet de la création des décharges concerne tous les gouvernorats.