Les Etats-Unis ont mis en garde contre le risque que la Constitution ne garantisse pas suffisamment les droits et libertés des Tunisiens.
« La nouvelle Constitution inclut des mécanismes de contrepoids affaiblis, qui pourraient compromettre la protection des droits humains et des libertés fondamentales », s’est inquiété Ned Price, porte-parole du département d’Etat américain, cité par France 24.
C’est la première réaction étrangère compte tenu des résultats du référendum. Pourtant, quelques heures avant, les Etats-Unis avaient déclaré laisser le peuple tunisien choisir son destin.