18 000 postes à pourvoir de suite à Monastir (10 000 dans l’équipement auto et 5000 dans le textile). A Manouba, on offre de suite entre 2000 et 3000 emplois, dans le domaine de la confection.
Si on y rajoute Tunis, Nabeul, Bizerte… et d’autres secteurs tels que les BTP et l’agriculture, ce sont des dizaines de milliers de postes d’emplois à pourvoir de suite. C’est le rôle des agences publiques ANETI et les sociétés d’intermédiation privée, elles doivent bouger d’une manière ciblée, efficace et agile.
En effet, la crise russo-ukrainienne a encouragé beaucoup d’entreprises européennes à s’installer en Tunisie, notamment dans les régions du Sahel, le Cap-Bon, Bizerte et le grand Tunis.
Le near-shoring est l’avenir de court terme à anticiper et canaliser d’une manière déterminée si on veut voir le bout du tunnel socio-économique.
Faut-il ainsi rappeler que sans l’investissement et l’export point de salut pour un pays comme la Tunisie qui représente un marché exsangue et à faible ressources propres pour l’investissement endogène?